"REGARDE,REGARDE,REGARDE" Colette
"L’injonction « Regarde. » jalonne toute l’œuvre : adressée à l’enfant évasif dans Autres Bêtes émise par la chienne dans La Paix chez les bêtes, réitérée de Sido à Colette et de Colette à Bel-Gazou, suivie d’une longue liste hétérogène dans Journal à rebours, démultipliée par les possibilités techniques contemporaines – agrandissement, vues aériennes, accélération, ralenti.(Francine Digast-Portes)
"Nous ne regardons, nous ne regarderons jamais assez, jamais assez juste, jamais assez passionnément. (De ma fenêtre,) Colette
« – Vois comme cette pensée ressemble au roi Henri VIII d’Angleterre, avec sa barbe ronde, disait-elle. Au fond, je n’aime pas beaucoup ces figures de reîtres qu’ont les pensées jaunes et violettes. »
« Peu de jours après, je trouvais ma mère sous l’arbre, passionnément immobile, la tête à la rencontre du ciel d’où elle bannissait les religions humaines…
– Chut ! … Regarde…" (Les vrilles de la vigne)
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...