Regard grisé, nous flânons, ravis,
Dans le feu des tulipes et glycines. En panne
L’horloge des corolles. À la seconde où elle se fane
Nous nous réfugions dans les pavots de l’oubli.
RICHARD PIETRASS
Commentaires
06.04 | 06:20
Emerger de notre vivier , aprés y avoir puiser toutes les émotions . Ecrire , cry...
10.10 | 11:28
Aimer ne se négocie pas - oh que non. L'amitié non plus. Amour Amitié ces de...
25.01 | 06:56
MAGISTRAL, DEVOS
06.08 | 13:40
Bonjour Anne Marie, Quel plaisir d'écouter Pascal Quignard, que je n'ai ...